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ville de vanves - Page 652

  • LA CURIOSITE DE L’ETE 2018 A VANVES : LE CHANTIER DU TRANSILIEN A LA GARE VANVES/MALAKOFF

    Autant l’année dernière, les vanvéens avaient pu vivre un chantier exceptionnel à la mi-Août avec le ripage de la dalle qui couvrira le grand hall d’échanges de la future gare du Grand Paris Express, sous les voies de la ligne Paris-Montparnasse au niveau de la gare de Clamart, autant cet été, le chantier commencé à la gare  de Vanves/Malakoff est beaucoup moins étonnant, mais une première pour la SNCF/Transilien : Les travaux préparatoires à l'installation des rideaux de quais des portes  et non des palières - dont l'objectif reste le même - comme dans le métro, comme par exemple sur la ligne 13 entre Montparnasse et Saint Lazare (ainsi que la 14 voilà bientôt 20 ans, la 1 peu après et bientôt la 4) que les vanvéens empruntent : « Elles ont  permis d’augmenter la régularité aux heures de pointe (+ 7 points entre 2010 et 2017, pour atteindre en 2017 les 97,2% )», souligne la RATP.

    Dénommé dans le jargon ferroviaire « rideaux de quais » ils descendent ou montent à la verticale, comme des stores électriques, au lieu de s’écarter ou de se fermer, devant chaque porte des rames. Un système de capteurs détectent l’arrivée et le départ du train, afin d’activer les portes en plexigas. «Les portes-palières latérales sont idéales pour les lignes automatisées, qui permettent des arrêts extrêmements précis avec une marge d’erreur qui n’éxcéde pas 25 à 50 centimètres. Mais elles ne conviennent pas aux lignes RER et Transilien, car elles sont pour l’essentiel à l’extérieur. Selon la météo, les distances de freinage sont différentes», explique t-on à SNCF Transilien. «Des solutions rideaux de quais sont généralisées en asie (Japon, Corée du Sud…) et sont en cours d’études ou de déploiement en Europe. Ces solutions sont compatibles avec un parc de matériels roulants hétérogénes t ne nécessitent pas un point d’arrêt précis des trains »

    La gare de Vanves/Malakoff a été choisi pour tester ce matériel pendant un an, par SNCF/Transilien parce qu’elle enregistre un flux de voyageurs modérés – 4000 usagers par jour – et qu’elle dispose d’un quai central large, et long de 75 m. Ce test lui permettra «de valider le concept, d’affiner les spécifications techniques de l’opération, de tester et valider la pertinence de la solution, de préparer la phase de développement ». Elle souhaite introduire ce système de protection afin d’éviter des descendes ou des chutes sur les voies. Il faut rappeler que «chaque année en Ile-de-France, environ 200 personnes perdent la vie, volontairement ou non, en passant sous un train. Et dans l’immense majorité des cas, c’est depuis le quai d’une gare qu’ils accèdent aux voies. En termes de ponctualité ensuite, puisqu’au-delà de ces accidents mortels, la SNCF recense plus de 2 500 intrusions par an sur les voies ferrées en Ile-de-France. Sur les lignes où le phénomène est particulièrement prégnant, ces intrusions peuvent nous coûter jusqu’à un point de ponctualité » indique SNCF Transilien qui espére installer ces portes-palières progressivement.

  • L’ETE 2018 DU DEPUTE DE VANVES QUI A FAIT LE BUZZ ET AGACE LE PREMIER MINISTRE AVEC LA BANDE DE POITIERS

    Le député de Vanves a fait le buzz cet été malgré les vacances, notamment sur Paris Match avec non seulement  une photo avec Lionel jospin, dans un article sur « La jeune garde macroniste se ressource en Bretagne et croise... Jospin » mais une interview incroyable où il se déclare fan de d’Oreslan «  Vanves - Gabriel Attal : « J'ai monté le fan-club d'Orelsan à l’Assemblée » et un troisiéme où il explique comment il s’est engagé pour la libération d’Ingrid Bettencourt  … après cet échange aigre-doux avec son pédécesseur dans un EHPAD d’Issy  les Moulineaux raconté par le Canard Enchaîné. Trois articles en un mois dans Paris Match, un record pour un député de Vanves et de la 10éme circonscription des Hauts de Seine (Vanves/Issy).  A tel point que l’ex-député UDI  de Vanves/Issy qui le poursuit de son ire,  a écrit à la rédaction en chef de ce magazine pour s’en plaindre ( ?) .

    Gabriel Attal (sur la photo avec Edouard Philippe)  fait parti de la bande de Poitiers qui s’est retrouvé cet été justement sur une île du Golfe du Morbihan (l’île aux Moines), où justement il séjourne, et qui a fait parler d’elle dans la presse avec cette photo de Lionel Jospin. Cinq députés de la majorité (Matthieu Orphelin, Guillaume Chiche, Aurélien Taché, Marie Lebec et Gabriel Attal) et un conseiller du président (Stéphane Séjourné) – sur laquelle le JDD du dimanche 20 Août 2018   a titré :  «La petite bande qui agace le premier Ministre» -  surveillé de très prés par les proches d’Edouard Philippe, à qui l’on prête beaucoup parait il. Une bande des cinq qui s’est élargi, se situant clairement à gauche du gouvernement, « plus macroniste qu’eux, tu meures », dont les initiatives et les petites phrases agacent aussi, et dont Le Monde du 11Août  dressait le portrait de deux d’entre eux, Guillaume Chiche et Sacha Houillé, en laissant entendre que «la jeune garde macronienne jugent que le dispositif présidentiel devrait être renforcé » après l’affaire Benalla. « Rien de tout cela n'est une affaire d'État. La réalité c'est que, avec cette affaire, l'opposition et les médias font 15 tonnes de mousse avec 150 grammes de savon » commentait Gabriel Attal

    Depuis l’affaire Benalla, jusqu’à la démission de Nicolas Hulot, avec entretemps les vacances, cette garde prétorienne croyait possible de reprendre la main : « La séquence a peut être été compliqué médiathiquement, mais il n’y a pas de remise en cause de la ligne politique. La capacité du président à réformer est intacte et les réformes à venir vont  le montrer » estimait Gabriel Attal dans Le Monde du 1er Septembre. La preuve : La décision d’annoncer le prélévement à la source mardi soir par le premier Ministre avec les tergiversations du gouvernement et du président. Pour ce qui concerne Nicolas Hulot,  Gabriel Attal soulignait la « fragilité » de cet ex-ministre venu de la société civile, en lançant, avec une pointe d’amertume, en sa direction  : « Je suis sûr que notre bilan lui fera, dans quelques années, regretters, sa décision ! »

    Enfin, la grande affaire de cette année 2018-19, ce sont les élections européennes : Gabriel Attal considére que « la droite modérée a un choix de cohérence  à faire » en visant les centristes de l’UDI avec Jean Christophe Lagarde, les constructifs avec Agir (Frank Riester), Gilles Boyer… « Il ne serait pas logique que les proeuropéens ne partent pas à la bataille unis, alors que nous sommes sur la même ligne. Le cas contraire laisserait penser que certains font de la politique politicienne pour des siéges » prévient il. Peut être sera t-il présent ce soir à la réunion de rentrée des Marcheurs Vanvéens 

  • IMMOBILIER : VANVES DEVIENT ATTRACTIF POUR LES PARISIENS

    Vanves est devenu attractif tardivement par rapport à Issy les Moulineaux, et même Malakoff comme l’a indiqué un article des Echos cet été :« Avec un prix moyen au mètre carré dans l'ancien qui dépasse à peine les 6.000 euros (selon MeilleursAgents.com), Vanves fait partie des marchés immobiliers porteurs de la petite couronne…. La demande a beaucoup augmenté dernièrement. Vanves est tout près de Paris, juste derrière le périphérique, et les familles des 14ème et 15ème arrondissements commencent tout juste à le réaliser.  En l'espace d'un an, les prix de la commune ont flambés de 5,5%, un point de plus que la moyenne des Hauts-de-Seine. L'une des raisons : l'existence de grandes surfaces et de maisons de ville, des atouts plutôt rares en banlieue proche.  Les biens au bon prix se vendent en l'espace de quelques semaines voire parfois de quelques heures. Ce qui ne laisse quasiment aucune place à la négociation. La clientèle familiale est aussi attirée par la qualité de l'enseignement. La proximité avec le lycée Michelet, qui jouit d'une bonne réputation, est un critère très demandé, d'après l'agence Laforêt » peut on lire dans cet article.

    «Les pavillons d’environ 100m2 avec garage et jardinet qui s’alignent dans le secteur de Michelet, trouvent preneur en quelque semaines aux alentours de 850 000 € » indiquait le newsmagazine l’Express de cette semaine dans un dossier consacré à l’immobilier en Ile de France qui constatait que Vanves comme Montrouge « attirent de nomb)reux actifs qui cherchent à acheter moins cher que dans la capitale ». En donnant des exemples cités par les agences immobilières Parent et Guy Hocquet  : « Très densément urbanisées, ces villes comptent de nombreux immeubles collectifs des années 1930 à 1980 dont les appartements avec balcon, cave et parking se négocient entre 5000 et 6500 le m2 ».  Et de citer des exemples comme ce célibataire qui a acheté dans un immeuble des années 30 de la rue V.Hugo, bien entretenu, un 2 pièces de 46 m2 pour 294 000 € (6 391 € le m2), ou ce couple de trentenaire qui a jeté son dévolu sur un 3-pièces des années 1980 (79 m2) pour 460 000 € (5823 € le m2